Le spectacle

Quatre boutiques, tableaux pittoresques  de la peur, s’inscrivent au sein de la ville, soit indépendantes et solitaires, soit en lien et en nombre, selon les possibilités d’implantation et les désirs de programmation.

 « Dans les rues de nos cités comme de nos villages, des pas-de-porte borgnes, des boutiques moribondes, des commerces abandonnés, se donnent en pâture à la modernité insensible ».

Là, dans l’oubli accumulé, évolue une jubilante famille d’Ogresses. À la tombée de la nuit, elle ouvre ses petits commerces grinçants et y attire sa clientèle.

Les membres de la famille racontent les différentes facettes de nos peurs profondes à travers leur caractère à l’humanité épidermique. Malgré l’appréhension, comme des enfants trop curieux, on est attiré par leurs sulfureuses histoires. On sent monter l’excitation jubilatoire de l’adrénaline.

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Revue de presse

Théâtre, 1 juin. 2005 « Ils ont investi nos sous-sols, squattés nos jardins... Maintenant ils veulent nous faire peur » Télécharger l'article en PDF